Le samedi 26 avril 2025 avait lieu la 3e édition du Raid des Gaillards organisée par le Rorthais Sport Endurance au départ des Châtelliers-Châteaumur sur la commune Sèvremont.
La grosse équipe Raid’Apte, composée de David et Mica, était présente et c’est ce dernier qui nous raconte leur raid.
Lors de la première édition du Raid des Gaillards à Mauléon, Raid’Apte avait envoyé La Grosse Équipe en éclaireuse, histoire de savoir ce que valait cette épreuve organisée dans un département voisin. Faut dire que si David et moi n’étions pas revenus, ça n’aurait pas été une grosse perte sportivement parlant (physiquement, le préjudice est immense : près de 200 kg). Revenus enchantés (pas seulement par les ravitos), il n’a pas été difficile de convaincre d’autres oranges de se joindre la fête pour la seconde (5 équipes), puis la troisième édition (8 équipes).

AT01 : Départ ambiance tour de France et premières épreuves
Nous étions donc 16 membres de Raid’Apte au départ du prologue de ce troisième Raid des Gaillards : 2 fois 1,3 km de course de (grosse) côte « en mode ambiance TOUR DE FRANCE » (comme indiqué dans le Raid Book : musique, fumigènes, speaker : top !) à parcourir en relais pour éclater le peloton. Et ça l’a bien éclaté puisque le premier relayeur boucle les 1,3 km en 5 minutes tandis que les derniers et dernières à finir le premier tour arrivent après presque 9 minutes.

Pour éviter le « petit train » habituel lors d’un début de Raid, l’organisation a eu l’idée, en plus de ce prologue, de faire tirer au sort la première balise à pointer obligatoirement. Celle-ci était soit une balise VTT de la SP01, soit une balise CO de la SP02 (CO parc) ou de la SP03 (CO Coteaux). Pour David et moi (équipe 28, un nombre parfait), le premier point serait à marquer avec la balise 11 (un nombre premier) sur la CO Parc, comme les copains de la Brétibenaise de Cap à l’Ouest (équipe 12, un des deux seuls nombres sublimes connus) : Benjamin et Domnin.
Bon tirage au sort pour nous, puisque la SP02 est une CO que l’on a prévu de faire en entier, contrairement à la CO Coteaux que l’on s’autorisait, a priori, à shunter totalement ou en partie suivant l’avancement sur la SP01.
On gère bien cette CO de 2,5 km pour 10 balises (avec 2 liaisons obligatoires) durant laquelle David oriente à merveille tandis que je fais le Géant des Flandres (un gros lapin, quoi). On prend chaque balise pas loin derrière Benjamin et Domnin mais on ne suivra pas leur rythme bien longtemps sur le reste du Raid.
On reprend le VTT sur la SP01, en direction de la SP03 (CO Coteaux) annoncée très difficile physiquement. Et pour cause : 3 liaisons obligatoires imposent de manger du dénivelé (et on aime manger, ce n’est pas le problème). On arrive sur chaque balise devant les équipes (plus rapides) sorties devant nous de la balise précédente, ce qui confirme nos bons choix d’orientation pour gagner de précieuses centaines de mètres (et quelques minutes). Malgré ça, on décide de laisser 2 balises (en liaison obligatoire avec dénivelé maous) sur les 8 possibles afin de rester dans le timing que l’on s’était fixé dans notre stratégie : La grosse stratégie de la grosse équipe, un document classé secret que vous ne pourrez jamais tenir en main (trop gras, la feuille plastifiée vous glisserait entre les doigts).
On termine la SP01 en VTT, David fait deux aller-retours pour prendre deux dernières balises (on en laisse une sur cette spéciale) avant de se rendre au départ de la SP04 : un suivi d’itinéraire couloir de 5,6 km théoriquement en VTT… En pratique, on fera une bonne partie du chemin le VTT à la main sur un terrain pentu, parfois technique, mais surtout très gras (j’avais l’impression de rouler sur mon ventre). Dans un cadre néanmoins incroyable entre champs, forêt et petite rivière.
Malgré une petite erreur de lecture qui nous oblige à passer les vélos par dessus les barbelés (et à blesser David au doigt, toutes mes désoles), on arrive néanmoins sur l’aire de transition AT02 dans les temps que l’on avait prévus, avec 27 balises sur 30 possibles, soit 5 de plus qu’envisagé dans la grosse stratégie.
AT02 : Un terrain de jeu incroyable !

L’aire de transition AT02 se situe ni plus ni moins qu’au château de la Flocellière, dans un cadre incroyable, aussi bien pour la beauté des lieux que pour la variété du terrain de jeu à proximité.
On commence par le Trail’O (SP05). Ah ah, lol ! Mais non, vous êtes bien dupes ! On commence par manger, évidemment ! C’est le premier ravito solide, on n’allait quand même pas passer à côté. Au programme : du saucisson, des chips, des cacahuètes et toutes sortes de choses sucrées auxquelles je ne toucherai pas tout de suite parce qu’il faut finir son assiette avant de passer au dessert (et je suis loin d’avoir fini mon assiette).
Une fois sustentés (provisoirement), on part donc sur le Trail’O où nous attendent 8 balises dont 6 en ordre imposé et 2 optionnelles. La particularité de l’épreuve est qu’à chaque balise, un morceau de carte affichée permet de placer un fanion de la SP06 (CO Parc) sur une carte vierge de toute balise. Malgré la facilité de l’épreuve sur le plan technique, on arrive néanmoins à faire une grossière erreur (la seule grosse erreur de notre Raid) qui nous coûte pas loin de 15 minutes. David vous dira que c’est de sa faute mais, étant encore en train de manger sur le début du trail, il faut bien reconnaître que je n’étais pas franchement à la lecture de carte. Bref, en faisant demi-tour pour nous recaler, on croise Olive et Jeff qui allaient faire la même erreur que nous (erreur que feront également Baptiste et Nicolas). Comme on est des gens sympas, on leur signale notre boulette pour éviter qu’il la fasse à leur tour. Ils se mettent alors en route sur le bon chemin et nous mettent une sacrée tempête (on sait qu’ils vont plus vite mais on ne pensait pas à ce point). La suite du trail se déroule bien, on prend les 6 balises en ordre imposé et on rentre en suivant l’« obligation de rester sur les chemins , sentiers et routes »… contrairement à de nombreuses équipes qui coupent à travers un champ pour gagner 700 bons mètres, un peu de dénivelé, et le temps qui va avec (mais c’est possiblement à cause d’une non‑lecture des consignes – nous aurions fait comme elles si David n’avait pas lu ce qui était écrit sur la carte – loin de moi l’idée de les soupçonner de tricher à dessein).
On enchaîne la SP06 (CO parc) dont on vient de placer 6 balises au cours du trail. Elle est courte et facile, on en profite pour alterner orienteur/lapin sur chaque balise afin de la faire au plus vite sans se mettre dans le rouge. Les passages de témoin se passent bien, la carte est tellement nette qu’il est facile d’y rentrer, même pour une seule balise.
Pendant ce temps, Franck, de l’équipe Raid’Apte Franono (dossard 66, un nombre triangulaire, hexagonal et sphénique) n’écoute qu’à moitié les consignes (qui s’en étonnera ?) et hésitera tout au long de cette CO sur l’ordre des balises à prendre… L’occasion de souligner, une fois de plus, l’immense mérite de Jean-Noël à faire équipe avec ce gougnafier (je le sais, j’ai déjà testé).
Le temps de grignoter un bout et on se lance sur le Run & Bike (SP08) qui nous amènera à la SP09 (CO Forêt), toujours dans les temps que l’on s’était fixés.
De belles CO forêt
Le Run & Bike est annoncé facile physiquement mais très technique. Et pour cause, le road book fait peur à première vue : 62 indications dont 26 à l’aller (pour environ 2,1 km), et 36 au retour (3,4 km). Mais le RSE a une nouvelle fois fait du beau travail : tout est indiqué, il ne manque rien, aucune indication ne laisse place au doute. Malgré une pluie qui commence à se faire sentir de plus en plus, on arrive à la SP09 sans difficulté et on gère cette CO forêt (courte mais pentue) avec efficacité, en alternant orienteur/lapin dans les coteaux pour se préserver un peu. On ne manque pas de jouer de la boussole pour gagner un peu de distance (possible que quelques arbustes n’aient pas résisté à notre incroyable musculature) et on ramasse les 6 balises plus rapidement que prévu avant de rentrer à l’AT02 en Run & Bike sans anicroche.
De leur côté, Franck et Jean-Noël s’attaquent à la SP10 : une CO Forêt annoncée très technique en orientation et rendue d’autant plus difficile à cause de la pluie qui réduit la visibilité des deux binocleux. Pas simple pour eux, ce qui a le don d’agacer Franck une première fois tandis que Jean-Noël reste imperturbable.
Au retour de ce Run & Bike plaisant, on sent néanmoins que la moindre montée en vélo est difficile et qu’on est plutôt bien en CO. Alors on se lance (après avoir mangé, il va sans dire) sur la SP10 : la CO qu’on attend le plus car en forêt et annoncée « très technique », « pour les orienteurs ». Le Raid Book précise même clairement que « pour certaines équipes, il y aura plus à perdre qu’à gagner !! ». David commence à être dans le dur physiquement alors je prends le doigt, et lui la carte. Il nous emmène au début de la CO par les passages obligatoires, puis directement sur la première balise (84, un nombre tétraédrique) sans difficulté. On enchaîne la suivante rapidement à la boussole puis les deux d’après grâce aux indications de relief (fossé sec, abrupt rocailleux) clairement notées sur la carte et en parfait accord avec le terrain. Pour la balise suivante (79, un nombre reimerp), David est d’avis de remonter et suivre les chemins tandis que j’envisage de couper en suivant une levée de terre pour gagner de précieux mètres, assez confiant sur notre orientation et la qualité de la carte. Il me fait confiance et on fait le bon choix puisqu’on arrive sur la balise après une longue ligne (à peu près) droite à travers la végétation notée en vert intermédiaire (un vert pastel selon Rémi, presque du blanc) et le contournement d’une partie vert foncée clairement indiquée sur la carte.
Parlons-en de cette carte : quel régal ! Propre, détaillée, précise, on s’éclate sur cette CO. Bravo les cartographes, c’est vraiment de la belle ouvrage.
Comme je suis en confiance, je prends l’orientation (et le doigt) à mon compte en faisant des choix payants sur la fin de parcours pendant que David souffle un peu pour tenter de se refaire la terrine (c’est comme se refaire la cerise mais pour nous, les gens musclés).
On boucle la CO sans jamais jardiner et avec une impression de facilité sur la lecture de carte (et c’est autant grâce au travail des cartographes qu’à notre incroyable talent… hum). Tout ça sans trop courir à cause de la dense végétation : la seule course a été interrompue par un « stop ronces » aux alentours de la balise 75 (un nombre énnéagonal) où l’on croise Flo et Aurel qui enchaînent les déboires : après une casse du dérailleur d’Aurélien, c’est le mollet de Florian qui présente des fragilités, obligeant Aurel’ à enchaîner les allers-retours pour préserver la santé musculaire de son copain.
Le point culminant du Raid
Au retour à l’AT02, il nous reste une trentaine de minutes sur le timing. On a le choix entre rejoindre l’AT03 plus tôt que prévu ou prendre quelques balises sur la VTT’O (SP07) malgré des jambes qui semblent avoir du mal à répondre lorsqu’on est en selle. On prend la carte de la SP07 et on décide de prendre 3 balises (dont une à 2 points). Ce choix nous permet de monter au sommet du clocher de l’Église de Saint-Michel-Mont-Mercure où le RSE avait placé la balise 49 (un carré parfait). L’occasion de s’avaler (avaler, on aime bien, c’est pas le problème) 194 marches (oui, je les ai comptées) de calvaire dans un escalier en colimaçon. Coup de chance, aucune autre équipe n’a eu la mauvaise idée de venir sur cette balise en même temps que nous. Sans quoi, on aurait été bien en peine pour se croiser dans un escalier où mes deux épaules touchaient les murs (exagérer, moi ? Je me meurs de vos soupçons). Sans compter que cela m’amènera certainement tout droit en enfer – si toutefois il existe – puisque je suis entré dans une église avec un couvre-chef (mon casque de vélo qui m’a évité de m’assommer à la redescente) et qu’il est possible que j’ai prononcé quelques grossièretés à l’encontre de nos hôtes deux-sévriens lorsque la montée m’apparut interminable (soit, au bout de 17 marches à peu près).
Une fois redescendu, on est passé chercher deux autres balises avant de rentrer à l’AT02 pour attaquer l’épreuve suivante : le VTT Shaker. Est-ce qu’on a mangé avant de repartir ? On a l’habitude de dire qu’il n’y a pas de question idiote celle-là quand même…
Pendant ce temps, Franck et Jean-Noël ont attaqué le Shaker VTT. Ils ont décidé de tout prendre (dont deux balises à 2 points) mais se rendent compte qu’il ne faut pas suivre aveuglément des équipages à travers champ en faisant la rencontre hautement bucolique avec un veau. Pour quitter le champ, Jean-Noël vérifie avec les mains que le fil est bien électrifié (aucun doute, y’a du jus). Ne faisant pas confiance à son compère de Raid, Franck décide de vérifier à son tour… avec les bourses, comme je l’avais fait lors de l’édition précédente. Visiblement, je ne suis pas seulement un influenceur raclette.
(Shake, Shake, Shake) Shake your Booty

Pour le VTT Shaker, on décide de suivre notre stratégie et d’aller (plus ou moins) au plus court. On fera quand même un aller-retour pour toper la balise 88 (un nombre uniforme) et un léger détour pour la balise 96 (un nombre intouchable). Au final, on prend 5 fanions sur les 13 possibles sur cette épreuve (on en envisageait 7 dans la grosse stratégie).
Toujours sur le VTT Shaker, l’équipe Raid’Apte Sebtof se voit contraint de mettre les mains dans le cambouis (au sens figuré) lorsque le garde-boue de Seb rejoint l’équipe 1er degré en décidant de… garder la boue (au sens propre). Au point de bloquer la roue.
On arrive à l’AT03 dans les temps prévus, pile à temps pour se ravitailler et juste à temps pour dire au revoir à Jean-Noël et Franck qui mettent le bateau à l’eau. Le ravito arrive à point nommé car, sans l’avoir senti venir, un coup de moins bien se préparait de mon côté vu ma difficulté à arrêter de manger abricots secs et des carrés rectangles pavés droits (ou assimilés) de chocolat. Selon le décompte officiel, j’en aurais avalé respectivement 220 et 284 (des nombres amiables ou amicaux). Pendant que je prends mon dessert, donc, David apporte les deux vélos à l’organisation qui va les amener à l’arrivée du canoë au PC05 où nous attend une CO Photo (avant de m’attendre encore un peu, le temps que je termine).

Le canoë (format shaker) est dans le sens du courant et se passe étonnamment bien pour nous. À tel point que l’on double une équipe, pour la première fois de notre carrière de kayakistes ! Merci infiniment à l’équipe 72 (un nombre oblong) Raid’Yon Tof Et Ses Cheerleaders pour ce beau moment sportif, partagé avec plein d’humour.
Mieux que doubler des équipes, on rattrape carrément l’équipage Raid’Apte Franono qui est pourtant parti avec une bonne dizaine de minutes avant nous. On laisse Franck raconter :
« Nous aurions dû nous entrainer un peu plus avant de nous lancer sur l’eau. Jean-No adore faire des ronds dans l’eau, ce qui provoque un nouvel agacement de ma part. Heureusement, nous croisons la Grosse Équipe qui nous aide à pointer une balise en prenant notre doigt électronique tandis que Jean-No est bloqué dans le bateau, incapable de débarquer, jambes tendues et crampées. Ça me fait un mal fou de reconnaître l’aide indispensable de ces deux personnes mais si je ne le fais pas, Mica pourrait en faire tout un fromage (d’autant qu’il n’en a pas trouvé lors des ravitos, ce qui l’a certainement rendu très irritable). »
On prend toutes les balises sur le canoë (et toutes les branches aussi, on n’en a pas raté une) puis on enchaîne la CO Photo avec Franck et Jean-Noël. Le principe est simple : au recto, des lieux sont indiqués sur une carte type photo aérienne et au verso, il y a 20 photos de lieux ou objets qu’il faut retrouver lorsque l’on est au bon endroit. Tout se passe bien sur les deux premières photos mais David est ensuite contraint d’arrêter à cause d’une douleur à la jambe. Je poursuis donc seul et trouve facilement les lieux d’où ont été prises les photos. Je suis, en revanche, bien moins doué pour reconnaître les photos. Heureusement, l’équipe Franono ainsi que Christophe et Seb’ me montreront par deux fois ce que je cherche et que j’avais sous les yeux. On récupère le bonus de 20 minutes sur cette épreuve – merci les copains – mais en ayant finalement perdu un peu de temps à cause de mes difficultés oculaires du jour.
Les dernières épreuves
On reprend les VTT pour un fléché allemand sans difficulté particulière, les instructions sont claires et quelques précisions kilométriques bien choisies permettent de confirmer l’itinéraire en cas de doute.
On attaque ensuite la dernière CO forêt avec une dizaine de minutes de retard sur les temps que l’on s’était fixés. Mais on est efficace, ce qui nous permet de rattraper notre retard et de sortir de la CO à l’heure que l’on souhaitait avec toutes les balises en poche (11, un nombre premier sûr et unique). Plus que 8,5 km de VTT pour ramasser les 9 dernières balises. On décide rapidement de l’itinéraire à suivre et des aller-retours à faire : on a bien retenu les conseils du RSE en choisissant de rester au maximum sur des chemins très roulants, quitte, parfois, à faire un petit détour. Choix payant puisque c’est très très roulant jusqu’à l’arrivée à Mauléon où les dernières dizaines de mètres de dénivelé nous attendent en compagnie (sur deux balises) de l’équipe Raid’Apte 16 – David et Fabien – qui finira sur la 3e marche du podium. On devra laisser la balise 141 (un nombre semi-premier) après avoir mis les pieds, genoux et même la taille dans l’eau (ne comptez pas sur moi pour dire que Franck avait de l’eau jusqu’au cou – même si c’était vrai – je ne suis pas du genre à chambrer) pour aller toper la balise 140 (un nombre abondant). Grâce au bonus de 20 minutes déduit de notre temps de course, on rentre dans les temps en étant laaaaaarge (il nous restait 29 secondes), avec un total de 94 balises (et 95 points) sur 141 possibles (et 150 points).
On termine très content de notre raid avec, au final, une seule « grosse » erreur sur 10 h 20 min (enfin 10 h 19 min 31 s) d’épreuves, des choix payants, un respect du timing prévu dans la grosse stratégie quasiment à la minute près et de plutôt bonnes sensations physiquement et en orientation. De bonne augure pour notre troisième Vendée Raid qui arrivera très vite.
L’après raid est à l’image du reste de la journée : au top. À l’exception des douches un peu trop fraîches à notre goût (mais il n’est pas question d’en tenir les organisateurices pour responsables, loin s’en faut), tout est parfait pour bien terminer cette journée, de la bière fraîche au repas en passant par le lieu d’accueil que l’on connaît bien, désormais.
Comme lors des éditions précédentes, on ne peut que féliciter le Rorthais Sport Endurance pour ce raid de haute volée. Et dire merci, surtout, à toutes et tous les bénévoles qui nous ont concocté tout ça, nous ont accueillis et accompagnés avec le sourire toute la journée, malgré un temps plus que maussade. Vivement la 4e édition !
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